Lewis Hamilton espère un rebond positif à Las Vegas ce week-discontinuance, après un Huge Prix du Brésil difficile. Le pilote Mercedes F1 est rassurant quant au fait que son équipe a réussi à trouver les origines des problèmes de fonctionnement rencontrés il y a deux semaines.
“On sait à 100% ce qui n’a pas fonctionné avec les réglages de la W14 à Interlagos” snarl Hamilton. “En fin de compte, nous n’avons pas fait du bon travail. Mais nous en avons tiré beaucoup d’enseignements quant à savoir où nous devons aller et où nous devons nous développer.”
“En cas d’échec, on apprend toujours beaucoup de choses de ces expériences. Donc en venant ici, j’espère que nous aurons une meilleure approche, mais nous ne savons toujours pas remark la voiture va être ici.”
“Finir la saison avec une victoire ? Je ne crois pas ! Vegas est une inconnue mais… Ce n’est toujours pas une voiture succesful de gagner un championnat du monde et je ne pense même pas que ce soit encore probablement une voiture gagnante. C’est sur cela que nous devrons travailler pour l’année prochaine.”
“De toute façon, nous allons nous battre, pour essayer de garder une longueur d’avance sur Ferrari et le fait que nous courions pour la deuxième assign chez les constructeurs est incroyable étant donné d’où nous sommes partis. J’ai donc vraiment bon espoir que nous pourrons maintenir cette location.”
Lorsqu’on lui demande s’il sera encore plus impliqué cet hiver à l’usine par rapport aux années précédentes, le septuple champion du monde snarl que le travail ne s’arrête jamais ou presque : “Nous avons déjà fait tellement de travail pour 2024 tout au lengthy de l’année.”
“Je fais partie d’un groupe de dialogue entre les équipes methods des différents départements et je serai toujours à l’écoute. Mais, bien sûr, je vais aussi débrancher, je dois laisser les gars faire ce qu’ils font de mieux. Mais je vais toujours demander ici ou là remark ça se ragged.”
“Il faut juste leur laisser du temps, ça prend du temps pour se développer. Ce sont des petits pas chaque semaine. Et puis, je dois me remettre en forme, préparer la prochaine saison et passer du temps avec ma famille. Cela a été une saison difficile pour le physique et le psychological.”
Le Britannique reconnait que les températures seront difficiles à gérer ce week-discontinuance : “Le plus gros défi sera les températures, ce sera surement la route la plus froide que l’on ait fait. Quand j’étais plus jeune, j’ai couru dans des stipulations plus froides en Ecosse, mais ce sera froid. On charisma du temps pour découvrir le circuit, donc je suis impatient.”
Avoir “un have an effect on sur la communauté”
Hamilton est heureux de rencontrer de jeunes Américains et de voir leur ardour pour la F1 grandir : “J’aime être ici aux Etats-Unis. On vit une période où notre sport grandit ici. Je suis allé voir des matchs de NFL et de NBA, je vois que les followers sont excités, et je vois que ça arrive à notre low de followers. Et on a une opportunité d’avoir un have an effect on.”
“A Austin, j’ai pu amener 16 jeunes filles sur le circuit avec mon affiliation pour leur montrer ce que c’était. Et grâce à cela, on a un have an effect on sur la communauté. Avec Mercedes, on a lancé Tempo up 25 pour que des jeunes issus de minorité au Royaume-Uni puissent voir ce que c’est. Et à Miami, on a aussi pu le faire avec des jeunes issus de diverses communautés.”
En revanche, il déplore que la Formule 1 ait causé beaucoup d’ennuis aux habitants de Las Vegas durant la préparation de son Huge Prix : “J’ai entendu dire que les habitants de la région se plaignaient beaucoup de la tenue de l’événement et je pense que nous devons respecter les habitants de la région.”
“Il y a tant de gens ici, qui travaillent si dur, il y a beaucoup d’argent et de richesse dans cette ville, et aussi dans les endroits où nous allons, dans cette industrie. Nous devons veiller à ce que les gens soient pris en value, je pense. Nous ne pouvons pas être un cirque de paillettes et de glamour, et que les gens en subissent les conséquences négatives.”
Russell est “intrigué” par ce que réserve Las Vegas
George Russell ne sait pas à quoi s’attendre avant ce premier Huge Prix de Las Vegas, que ce soit en matière de températures ou de stipulations sur le circuit : “Je suis très intrigué avant ce week-discontinuance vehicle nous allons vers l’inconnu.”
“C’est une route de nuit, bien plus froide que toute route où nous ayons couru auparavant. Et le faire dans cette ville, avec toutes les lumières, sera fou. Je suis impatient de voir ce que ça nous réserve, mais surtout de voir si nous serons rapides ou non.”
“Il y a beaucoup de défis, mais le plus massive est l’inconnue au niveau du circuit. On ne sait pas combien de grip l’asphalte va donner aux pneus, si le circuit sera bosselé, remark les pneus réagiront au froid, vehicle ce sera 15 degrés plus froid que n’importe quel autre circuit.”
“Le moteur va fonctionner dans des stipulations qu’il n’a jamais connues, à une température qui est sous la limite. Il y a beaucoup de facteurs et beaucoup de choses à apprendre, ce qui va nous donner une opportunité.”
“Cela va certainement être un peu inconnu parce que ces pneus Pirelli sont déjà… difficiles dans le meilleur des cas. Mais ils sont développés pour fonctionner dans des climats chauds. Nous parlons toujours de la température du tarmac et elle est normalement entre 30 et 60 degrés.”
“Ici, les estimations se situent plutôt entre 10 et 15 degrés ici. Donc deux fois plus froid que ce à quoi les pneus sont habitués. Les {qualifications} vont donc être difficiles. Et en route, les pneus vont avoir du graining.”
“Ce sera pareil pour tout le monde. Ce sera donc un week-discontinuance d’opportunités. Mais, qui sait, peut-être que les pneus fonctionneront bien et que nous aurons la même helloérarchie que récemment.”
Russell se félicite de voir la F1 progresser aux Etats-Unis et espère la voir continuer dans cette voie : “La montée de notre sport aux USA est géniale, il y a une tradition de sport aux Etats-Unis et j’ai toujours été surpris que la F1 n’en fasse pas partie. Voir le pays faire ce virage maintenant me rend fier d’en faire partie.”
“Les gens qui gèhire la Formule 1 sont très intelligents, ils savent ce que les followers veulent et ils doivent repousser les limites. Nous sommes dans un pic, mais on ne peut pas stagner, on doit toujours progresser, et ajouter Las Vegas au championnat en fait partie.”
Les “mêmes limitations” que Hamilton
Désormais, il travaille avec Lewis Hamilton pour faire progresser Mercedes F1, même s’ils ont tous les deux une manière différente de piloter : “Nous avons des types de pilotage différents, mais les limitations fondamentales auxquelles nous sommes tous deux confrontés sont les mêmes.”
“Chaque week-discontinuance, nous choisissons qui originate en premier lors de notre débriefing d’après-séance et souvent, celui qui parle en second dit la même chosen que ce que le premier a dit. C’est donc toujours un bon signe lorsque le pilote qui parle en deuxième, quel que soit le week-discontinuance, dit la même chosen.”
“Cela montre que nous sommes sur la même longueur d’onde et que les problèmes sont clairs. Nous sommes prudemment optimistes à l’approche de l’année prochaine. Nous ne sommes pas assis ici à nous demander ’pourquoi sommes-nous lents ?’”
“Nous savons pourquoi nous sommes lents. Nous avons tellement de problèmes avec cette voiture, tellement de choses que nous voulons revoir. Cela nous donne donc l’espoir que si nous les résolvons, nous pourrons faire un massive pas en avant. Nous en avons besoin pour réussir.”
